Buddha Bar : cure de jouvence du restaurant le plus festif de Paris
Le Buddha Bar manquait à Paris ! Sa réouverture, par le groupe George V Eatertainment, réjouit les inconditionnels de son décor atypique. Là où le temps s’arrête pour que la fête reprenne ses droits. Spectaculaire, d’une taille démesurée, il a subi une cure de jouvence. Juste ce qu’il faut pour rassurer ceux qui en avait fait leur rendez-vous gourmand. À deux pas de la place de la Concorde, la file d’attente pour y entrer se forme dès l’ouverture. Uniquement au dîner. Monumentale, la statue divine y est toujours en place pour nous emmener dans une contrée imaginaire, forcément exotique. Et l’immense bar en mosaïque reprend du service, en proposant des cocktails de haute volée. De l’avis de tous, le Tchoupapi et le Bajiru sont les best sellers du bar manager, Florian Jubasz. Quant aux « Geishas » qui jouent à la perfection les maîtresses de maison, elles sont plus souriantes que jamais.
Des lounges pour cocooner avant le dîner
Le sur-mesure, de l’accueil à l’assiette
Du côté de l’ambiance, la musique joue un rôle primordial, avec un espace DJ installé dans une alcôve centrale. La réouverture du lieu est également le prétexte à la sortie d’une 25e compilation musicale Buddha-Bar, signée Ravin. Nul doute qu’elle tournera bientôt en boucle sur toutes les FM. Elle sera à vivre comme une odyssée au cœur des rythmes Lounge, World et Shamanic House. Un voyage au long cours et aux mélodies envoûtantes, de l’Everest au Kilimandjaro en longeant les plus belles plages des îles lointaines.
À la table du Tout Paris
Le Buddha Bar refait son apparition sur l’agenda du Tout Paris. Les happy few réservent déjà leurs moments partagés au Spakeasy, une pièce secrète, plus calme, pour vivre une autre expérience. Et en cuisine, le style Pacific Rim permet toutes les fusions. Cette expression américaine désigne les saveurs australo-californo-néo-zélandaises. Sans oublier, les créations nippones et européennes. Les assiettes goûteuses vantent un thon mi-cuit au sésame et chou kale, du black cod caramélisé et du poulpe en fleur grillé. Mais aussi des langoustes demoiselles, un curry rouge de crevettes Black Tiger, du poulet aux 5 parfums et un faux-billet de Wagyu japonais sauce chimichuri. Dubaï, Monte-Carlo, Marrakech, Prague, Londres ou Mykonos, le Buddha Bar est plus qu’un restaurant. C’est un certain art de vivre. Welcome back ! Formule dîner « Plaisir égoïste » : 89€. 8/12, rue Boissy d’Anglas, 75008 Paris. Tél. : +33 (0)1 53 05 90 00. buddhabar.com