L’excellence du café Coutume, au menu du chef Charlie Anne

On connaît Coutume pour son savoir-faire de torréfaction et son café de spécialité. Ce que l’on connaît moins, c’est son ambition de rapprocher café et haute gastronomie. Pour la première fois, la marque relève le défi d’intégrer le café sous toutes ses formes dans un menu d’exception imaginé par le chef Charlie Anne (finaliste de l’émission Top Chef 2025). Une expérience unique, présentée au cœur même du lieu de torréfaction de la maison, à Romainville, en Seine-Saint-Denis.

Tom Clark, à l’origine de Coutume

Tom Clark, Australien, découvre la France à 17 ans lors d’un échange scolaire. Quelques années plus tard, alors qu’il travaille dans des bars à cocktails, il réalise que le café français reste étonnamment basique pour une capitale gastronomique. De retour en Australie, il termine ses études avec l’idée de revenir à Paris. Finalement, une banque finance son projet, permettant l’ouverture d’un premier emplacement stratégique rue de Babylone, près de la Grande Épicerie.

Quand Coutume réinvente le coffee shop

Aujourd’hui, la maison compte quinze coffee shops, dont certains installés dans des lieux emblématiques de Paris comme les Galeries Lafayette. Selon l’adresse, Coutume propose une offre gourmande imaginée pour sublimer le café : tartines, pâtisseries, plats de saison ou bowls généreux. Une expérience complète, douce, simple et raffinée.

Torréfaction et coffee shop à Romainville

Depuis les entrepôts et les ateliers de torréfaction de Romainville, toute l’équipe de Coutume s’active. Dans le coffee shop, l’effervescence bat son plein : chacun contribue aux préparatifs d’un repas gastronomique imaginé par le chef Charlie Anne. Au programme, du café évidemment ! Mais surtout des assiettes célébrant les produits de saison.

Coutume, du grain à l’assiette gastronomique

Charlie Anne insuffle une énergie créative aux assiettes, en intégrant le café Coutume à son menu. Ainsi, la betterave se mêle aux œufs de poisson et à la tanaisie (une plante au parfum camphré). Les Saint-Jacques dialoguent avec le chou-rave. Le maquereau s’accorde à la noix et à l’épinard. Enfin, la châtaigne, les champignons, le noisetier et le mélilot (une plante herbacée vanillée) viennent clôturer cette expérience. Un voyage sensoriel audacieux, porté par le café, que le chef a su interpréter avec brio ! Plus d’infos ici.